Le Baron des Tempêtes

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Les aventures de l'équipage du Baron des Tempêtes

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    Prélude à l'histoire, Pablo Gérard.

    Papy Pablo
    Papy Pablo


    Messages : 6
    Date d'inscription : 07/12/2016

    Prélude à l'histoire, Pablo Gérard. Empty Prélude à l'histoire, Pablo Gérard.

    Message par Papy Pablo Jeu 8 Déc - 18:10

    Prélude à l'histoire, Pablo Gérard. Tinker10

    L'atelier.


    Tout débute dans un petit atelier, perdu hors de Paris, la capitale la plus proche, au premier coup d'oeil, la personne occupant les lieux paraitrait désordonnée, des boulons au sol, des outils et objets métalliques divers ornant chaque recoin des tables de travail, sur le bureau, une accumulation de parchemins sur les quels sont dessiner plusieurs objets, mesures et tracés qui pour un non initié ressemblerais plus à du gribouillage qu'autre chose. Assis sur un tabouret un automate plutôt complexe s'occupe de soudé certains objets, machinalement.

    Soudain, le craquement des branches au sol, le bruit des feuilles mortes écraser et remuer puis des "grognements" à glacé le sang. Un gros bruit sourd se fait entendre ensuite puis le calme plat reviens quelque instants, une porte s'ouvre suivie d'un bruit de décompression et d'eau coulant. La porte de l'atelier s'ouvre enfin offrant la vue sur ce qui semble être un sas, laissant passée un homme tenant à la main une clé à molette qu'il pose sur le premier bureau à sa porté.

    L'homme jette un regard sur toute la surface de l'Atelier avant d'ouvrir la bouche.

    Bon, il semble que t'ai rien fais cramer cette fois, j'te félicite Bobby !

    L'automate continue quand à lui son travail ne relevant pas les propos de l'homme.

    Y'a des fois ou j'aimerais que tu sois doué d'conscience bordel ... On peux jamais discuté avec toi boite de conserve ! Note à moi même, lui ajouté un protocole de langage basique quand j'aurais le temps. Bon, pas tout ça mais je fais mon test maintenant que j'ai récupéré ce qu'il me fallait, puis j'dois passé en ville moi j'ai bien b'soin d'un verre !

    L'homme accours vers une machine assez large, reliée par quelques tuyaux a deux Aquarium contenant un rat d'un coté et un poisson de l'autre, il sors ensuite de dessous sa veste un long tube transparent cylindrique fermé par du métal a chaque bout, dont l'un des deux semble contenir un connecteur, a l'intérieur du tube se trouve ce qui parait être un morceau de cervelle.

    Bon ... Plus qu'à attendre les résultats, J'te laisse la boutique, fais pas de conneries pendant mon absence !

    Il attrape ensuite une arme longue, un fusil doré, étrange par sa conception, le plaque à son épaule empoignant ensuite sa clé, il entre dans le sas referme derrière lui et enfile un masque couvrant sa bouche et son nez sortant finalement de l'atelier.

    Prélude à l'histoire, Pablo Gérard. Sgtn_110

    La forêt.


    L'atelier s'ouvre sur une forêt sombre, la lumière froide de la lune éclairant vaguement et le vent faisant dansé les ombres des arbres, non loin des hurlements et cris, non pas d'animaux communs, ceux-ci glaceraient le sang au premier venu, étant signe de mort pour les gens en général. Cependant l'homme semble serein, un sourire déformant son masque, il se dirige vers une petite batisse reliée a l'atelier, l'ouvrant pour y dévoilé un gros objet imposant, caché sous un grand drap, ainsi qu'une moto brillant d'un éclat doré a la lueur de la nuit, il sort celle-ci de la grange, referme et la chevauche, prenant une grande bouffée d'air sous son masque en observant le ciel.

    Prélude à l'histoire, Pablo Gérard. Steamp11

    C'est parti pour une petite promenade de santé !

    Il démarre le moteur, faisant un bruit assourdissant au démarrage, la fôret s'agite, les hurlements se multipliant, le bruit des arbres bousculés, des branches et des feuilles se faisant fortement oppressant, l'homme regarde derrière lui, attendant visiblement dans le calme que quelque chose se produise. Tout à coup surgissent des créatures, humanoïdes à première vue, mais aussi ce qui sembleraient avoir été des loups par le passé, le masque que porte le motard se déforme a nouveau cachant un sourir, puis celui démarre a plein gaz, et se met à zigzaguer entre les arbres avec une particuliére aisance, poursuivit par les créatures tout à coup l'une d'elle survient sur le coté d'un bond droit vers lui, celui-ci lui aillant déjà l'arme au poing, il tire dans celle-ci tout en continuant sa route.

    Héhé celui là vaux au moins un dix points !

    Il prend un air sérieux quelques instants en apercevant la lueur de la lune se faisant plus présente devant lui, il fait alors partir le cul de la moto de coté, se retrouvant sur une route anciennement emprunté coupant a travers les bois, il remet les gaz immédiatement, quand un loup surgit devant celui-ci, il se penche en arrière, mettant un gros coup de gaz pour soulevé l'avant de l'engin, passant sa roue arrière sur la bête, la laissant au milieux de la route après un petit vol de quelques centimètres, allumant enfin le gros phare à l'avant continuant sa route, en distançant aisément ses poursuivants ensuite. Après un court moment sur la route, de grandes fortifications ainsi qu'une forte concentration de lumière se présente au loin un édifice, énorme embellis le paysage de ses lumières au alentours de la ville.

    Prélude à l'histoire, Pablo Gérard. Order-10

    Paris.


    A l'entrée de la ville, d'énormes fortifications ainsi qu'une porte renforcée là ou campe des gardiens armés. Ceux-ci interpelle l'homme, le mettant en joue.

    Halte, déclinez votre identité pas de gestes brusques

    On se calme les gars, j'passe trois fois semaine ici et vous m'demandez encore ça ... ?

    Les Gardes l'observe alors plus en détail, suspicieux, avant de relevé leurs armes

    Ha! T'es le mécano fou qui vie dans la forêt tu viens ici pour quoi ?

    Bah, disons que mon Automate est pas très bavard et quand j'discute avec les mutant, ça fini souvent en meurtre, va savoir pourquoi, essayez vous aurez p't'étre plus de chance ! Enfin bref, du coup j'suis forcé de venir ici pour entretenir mes contacts sociaux. Et surtout j'ai plus une seule bouteille a l'Atelier.

    Ca va, ca va ... Ouvrez les portes, il a l'droit de passage.

    L'homme s'avance alors roulant presque au pas, avant d'aller la garée à l'arriére des murailles érigées, il retire son masque et emprunte ensuite l'avenue principale, observant comme a son habitude les structures, les gens se promenant, insouciants des dangers en dehors de leurs fortifications, après quelques minutes de marches, il emprunte une rue et bifurque presque aussi sec dans un profond cul de sac, au fond de celui-ci, les lueurs d'un immeuble semblant animé se font percevoir. Il continue sa route, sur celle-ci, il croise encore de nombreuses personnes, allant des vendeurs louches aux prostituées chacuns lui proposant leurs services quand il arrive enfin a la porte, il ouvre celle-ci, offrant alors une superbe vue à l'homme.

    Prélude à l'histoire, Pablo Gérard. D3136310

    Le rat rusé.


    Il traverse la salle, le sourire aux lèvres le bar dans le quel il viens d'entré est animé, entre les jeux d'argent, les danseuses offrant un superbe spectacle du haut de leur scène quelque bagarreurs rapidement remis à leurs place par les gorilles gardant l'endroit, les lumières chaudes de la salle et les rires de toute part, offrant un contraste total entre la réalité du monde et ce petit bar de fond de ruelle. Il fini par s'installer sur un tabouret, commandant une chope de bière et fouillant dans sa poche, sortant un cigare, qu'il allume ensuite, une fois son verre servit celui-ci plonge son regard dans la dite chope quelques instants avant d'être interpelé par un homme assez massif, le regardant d'un air sérieux avant de lui sourire.

    Hey pablo mon ami ! Comment se portes les bestioles de la forêt !? Si t'es là c'est que tu as ce que j't'ai demander j'me trompe ?

    Pablo ne prend pas spécialement la peine de le regarder, buvant une gorgée de sa chope, observant les danseuses, de son tabouret

    Salut Pitt, elles se portent probablement moins bien que moi, j'ai ce que tu demandais comme convenu, tu l'aura quand j'aurais ma bourse.

    Il pose ensuite le fusil qu'il a récupéré a l'Atelier entre ses jambes, après l'avoir montré à Pitt. L'homme semble hésitant quelque instants ouvrant la bouche sans dire un mot, puis fini par céder.

    Ah ... A ce propos, on est potes on s'connais depuis longtemps ... J'ai vraiment besoin de se fusil au plus vite mais j'ai pas l'argent là de suite ... les affaires vont pas fort, t'peux pas me faire un crédit ?

    Pablo pose sa chope et regarde enfin Pitt.

    Ecoute Pitt, aux dernières nouvelles mes potes essayaient pas de m'entubé, tu m'donne l'argent ou t'oublie ton fusil, c'la règle. Et évite d'envoyer tes copains braqueurs a la manque cette fois, j'sais que c'était toi la dernière fois ... Et la prochaine c'est toi qui prends la balle.

    L'homme balbutie quelques instants puis lui dit d'un air pas sûr.

    Euh ... Je ... Bon ecoute, j'ai pas tout l'argent mais j'ai déjà une bonne partie et avec ça j'te donne ce truc !

    Pitt agite alors une feuille pliée devant Pablo, celui-ci hausse un sourcil

    Quesque tu veux que j'foute de ton bout d'paperasse ? J'ai c'qu'il me faut a l'Atelier.

    Attends! C'est ... C'est pas n'importe quel bout d'paperasse, c'est un avis lancé a travers les capitales c'est au sujet du Baron des Tempête qui recrute et ça donne le lieu de recrutement. J'crois que t'éprouve une certaine fascination pour ce raffiot volant ?

    Pablo attrape son cigare avant de le faire tombé, bouche bée en observant le papier, sans dire un mot il attrape le fusil, le tendant à Pitt qui, avec un sourire lui verse une partie de la somme initiale et la feuille pliée. Celui-ci attrape la feuille et s'empresse de lire, il termine d'une traite sa chope et sors a toute hâte du batiment

    J'ai du boulot a la prochaine si on s'revois !

    Prélude à l'histoire, Pablo Gérard. Steamp10

    Paré pour le départ


    Après avoir fais le chemin de retour en toute hâte des vivres plein les bras, Pablo s'empressa d'attraper ses valises, charger tout ses objets importants et vétements il pris la peine de désactivé l'Automate ainsi que toute les machines et laissa ses expériences en cours là ou elles étaient. chargé comme une mûle, il sorti de l'Atelier et se dirigea vers la grange ou était entreposé la moto, il tira le drap révélant un quatre roue parsemé de piques, bien entretenu, il chargea ensuite tout ses bagages dans la voiture et se jetta au volant en démarrant.

    Prélude à l'histoire, Pablo Gérard. Mad-ma10

    Et maintenant direction Berlin !

    (La suite est à prévoir en fonction de mes éventuelles rencontre en chemin avec d'autres personnes, mais elle est prévue a suivre !)

      La date/heure actuelle est Dim 12 Mai - 23:55